Par Rag' - 15-06-2011 00:17:11 - 9 commentaires
Le fameux dévidoir à PQ |
Ruban de PQ de Möbius |
Tantale et l'arbre à rouleaux de PQ |
Sisyphe moderne et son rouleau de PQ |
Quelle est la différence entre...
Par Rag' - 20-03-2010 11:43:06 - 9 commentaires
L'Rag' dans LA VOIX DU NORD. Une star est née!
Par Rag' - 26-02-2010 18:40:23 - 9 commentaires
Oubliez les photos dans UFO, Trail Attitude ou même Modes et Travaux!
Les projecteurs se sont braqués sur moi, les flashs ont crépité, les gratte-papiers se sont affolés!
La célèbre -que dis-je?- la mythique VOIX DU NORD a décidé de lever le voile sur un des secrets les mieux gardés du monde occidental. Oui, j'existe!
La preuve:
'faudra que j'pense à engager un attaché de presse...
Un super-héros injustement méconnu
Par Rag' - 10-02-2010 00:08:49 - 10 commentaires
Qui n’a jamais rêvé de posséder de superpouvoirs ? Qui n’a jamais voulu défendre l’opprimé, sauver la veuve et l’orphelin, bourrer sa gueule à un super-méchant ?
John-Yves Flannagan en rêvait jour et nuit. Vitesse supersonique, force herculéenne, télékinésie, vision laser, autant de superpouvoirs qui, selon ses dires, lui faisaient « kiffer grave sa race ». Depuis son plus jeune âge, au prix d’exhibitions plus humiliantes les unes que les autres, John-Yves avait tenté de réveiller en lui quelque superpouvoir endormi. Car chacun sait que les superpouvoirs ne s’achètent pas à l’Arabe du coin ou ne se commandent pas sur internet avec livraison sous 48h dans votre relais-colis le plus proche. Rien n’y faisait. Que dalle. Nada. Même en payant par PayPal, c’est vous dire…
John-Yves avait beau porter un patronyme digne d’un super-héros, tel Kent, Parker ou Wayne, il souffrait néanmoins d’avoir un prénom furieusement « à la con ». Sa mère, ex-danseuse et fan de John Travolta, et son père, admirateur sans limite de feu Yves Mourousi s’étaient accordés sur ce double prénom rendant ainsi hommage à leurs deux vedettes internationales préférées. Soit dit en passant, John-Yves en a longtemps voulu à son père et à sa mère. « Daddy, j’ai un prénom furieusement à la con ! » aurait dit John-Yves à son père Raymond-Peter Flannagan.
Sa vie n’aurait été que souffrance et humiliation s’il n’y avait eu cette journée. La journée qui était à sa douloureuse existence ce que le panneau « Itinéraire bis » était au vacancier juilletiste : un putain de détour qui allait changer sa vie.
Jeudi 9 avril 2009, SalonionCity, Comté de Raidfight Gulch, Connecticut.
John-Yves fêtait ce jour-là son vingt-quatrième anniversaire en compagnie de ses parents, Raymond-Peter et Stacy-Brigitte Flannagann et de ses grands-parents maternels René-James et Hillary-Odette Macallister. Affublé d’un bonnet des célèbres Raidfight’s Moufettes, l’équipe de base-ball du comté, John-Yves s’apprêtait à ouvrir son cadeau d’anniversaire. La tension était palpable. En effet, sa famille, en proie à de graves difficultés financières, avait eu la plus grande peine du monde à rassembler quelques dollars pour le cadeau du « petit ». Leur choix s’était porté sur une paire de baskets. Celles-ci trônaient fièrement depuis des mois dans la vitrine du Chinois du coin. Son magasin, situé au coin de la 6e rue et de Skippy Avenue, regorgeait d’objets hétéroclites dont la provenance était mystérieuse. Dans le comté, l’on se souvenait sans peine du 24 décembre 1985 où des boules à neige provenant de son échoppe avaient inexplicablement explosé à la figure de centaines de jeunes enfants provoquant une panique sans précédent dans cette région du Connecticut. Depuis, le vieux Chinois et son commerce inspiraient méfiance, certains allant même à parler de magie noire…
Hors, il est de notoriété publique que :
-primo, une boule à neige est un satané cadeau de merde,
-secundo, une boule à neige « made in China » fabriquée à base de sperme de pandas lyophilisées et de poils de ragondins cantonais est un affront à la véritable boule à neige américaine. « God save American snow balls, damned ! » disait souvent son père.
John-Yves se saisit donc de son cadeau. Fébrilement, il arracha l’enveloppe en papier, son cœur battait la chamade, il pouvait sentir le sang battre dans ses tempes. Il découvrit avec émerveillement la fameuse paire de baskets que sa famille avait acquis après moult sacrifices financiers. Elles étaient assez banales, pas un modèle récent à priori, aucune marque distinctive, de couleur blanche et la finition était grossière. Seul un signe chinois venait orner les languettes. « Sans doute une marque chinoise… » se dit-il. John-Yves bien que surpris par ce présent n’en était pas moins heureux de cette marque d’affectation. Il inspecta les précieuses groles et, inexplicablement, une irrépressible envie de les chausser s’empara de lui. En moins de temps, qu’il n’en faut pour le dire, il ôta ses vieilles espadrilles Gepy. Son pied droit glissa dans la basket correspondante, puis ce fut au tour du pied gauche… Subitement le ciel s’assombrit. Le tonnerre gronda. Des éclairs jaillirent et une lumière aveuglante envahit la maison des Flannagann. « Holy mother shit ! » hurla Granny Macallister.
John-Yves se tenait debout au centre de la pièce. Les baskets qu’il venait de chausser émirent un son strident et du signe chinois qui ornait les languettes émanèrent des volutes orangées. Cette fumée enveloppa John-Yves et, tétanisée par la peur, il devint spectateur de sa propre métamorphose ! Son vieux survêt’ Cup’s laissa place à un short bleu roi ainsi qu’à un maillot moulant orange frappé du mystérieux idéogramme chinois. Son bonnet ridicule se changea en casquette rouge portant le même idéogramme. Non seulement la métamorphose physique fut impressionnante mais celle qui avait eu lieu au plus profond de son être était inimaginable. Désormais une inextinguible envie de marcher, courir, trotter, randonner allait donner sens à sa vie ! Il avait le pouvoir de « super-bien-courir longtemps ». Il détenait enfin son super pouvoir. Il était devenu SUPER BASKETMAN.
Certes, ce superpouvoir ne lui permettait pas de défendre l’opprimé, de sauver la veuve et l’orphelin ou de bourrer sa gueule à un super-méchant.
Certes, c’était un superpouvoir à la con mais, dans le petit comté de Raidfight Gulch, tout le monde s’accordait à dire que John-Yves ou plutôt SUPER BASKETMAN « i’court ‘achement bien ».
« Quel superpouvoir à la con ! », John-Yves Callagann, août 2009, juste après s’être fait démonté la gueule par des membres du Ku Klux Klan alors qu’il tentait de sauver l’Oncle Ben’s d’un lynchage..
Le monde n’était plus le même depuis ce jour. SUPER BASKETMAN était un super héros. John-Yves allait vivre de grandes aventures avec ces chaussures chinoises au pied.
To be continued…
"Objets inanimés, avez-vous donc une âme …" Preuve n°2
Par Rag' - 08-11-2009 16:26:11 - 3 commentaires
Ça y est.
Ils ont encore frappé, les salauds !
Chez moi.
C’est pas la première fois.
Ni la dernière malheureusement. J’étais pourtant prévenu : « fais attention ! », « ouvre les yeux ! », « réveille-toi ! », « tu vas finir pas te faire mal… ». Le sentiment d’insécurité, vous connaissez ? Celui qui vous fait réagir de manière irrationnelle, qui vous pousse aux limites de l’Humanité, qui vous transforme en animal blessé prêt à mordre l’âme charitable vous portant aide et secours. D’ailleurs je ne suis pas le seul à m’être fait agresser, ma femme récemment, mes gosses régulièrement. Aux pieds, à la cuisse, sur le front, sur les coudes, là où ça fait ‘achement mal, quoi. Dans ces cas-là, pas la peine de crier à l’aide, de demander du secours, le mal est fait, il faut subir et attendre que la vague de douleur nous submerge et finisse par se retirer. Jusqu’à la prochaine fois… Car il y a TOUJOURS une prochaine fois ! T’as le choix entre contenir un cri primal ou laisser libre court à ton instinct. Ce matin, j’ai choisi de crier ma rage. De hurler ma haine.
« AAAAÏÏEUEEUUUUEUUUUEUUEU !!!!Puuuuuuuuuuuuuuuuu……. (jusque-là j’avais encore le choix d’épargner les enfants et leurs oreilles encore chastes, mais la douleur était trop forte)….tain de bordel de merde de coin de table à merdeeuuuuu ! Fais iéch ! AAAAAAAAAHHHHHHHH ! OUHOUHOUHOUHOUHOUH !»
Ils ont encore frappé.
« Ils ?? Mais qui ? » me demandez-vous,
Ne me dites pas que vous ignorez de qui je parle ? Vous ne voyez pas ? Mais si, ils sont partout, on ne les remarque même plus.
Mais les COINS, bordel ! Associés aux PIEDS ! Coins de table, de porte, d’armoire, de commode, de lit, etc. Pieds de chaise, de fauteuil, de lit, table, d’établis, etc. Le diable est parmi nous et il a pris forme ! L’Internationale des Pieds et Coins Liés aura raison de notre civilisation !
Vous pouffez ? Vous riez ? Vous vous dites que je suis encore en train de me lancer dans des élucubrations Paco Rabannesques ? Contrairement à Paco Rabanne qui prévoyait que la Station Mir allait se crasher sur mes pieds – j’attends toujours – j’ai la preuve irréfutable que les coins et pieds de table et consorts ont agressé mon pied droit. Ce matin. Au petit jour.
Naïfs que vous êtes. Ne dit-on pas que la plus grande ruse du Diable est de faire croire qu’il n’existe pas ? Vous en doutez encore ? Lisez la suite. Ma démonstration est sans faille.
Ne vous êtes-vous jamais tordu de douleur après avoir été sauvagement agressé par un coin de table ? N’avez-vous jamais maudit le monde entier après vous être « électrifié » le coude sur le coin d’une porte ? Ne vous êtes-vous jamais roulé de douleur après vous être arraché la moitié d’un orteil sur le pied du lit ? Le hasard, me direz-vous. J’en doute.
Il est indubitable que ces monstruosités frappent toujours au moment où nous sommes les plus vulnérables.
1. Au saut du lit, le pied dénudé, la gueule enfarinée, vos orteils innocents se font sauvagement agressés par le pied de la table qui accueille votre petit-déjeuner. Le pied de table est lâche et ne s’attaque à votre personne que lorsque vous baissez votre garde, que vos sens ne sont pas encore en alerte. Souvenez-vous-en ! Mettez vos chaussures de sécurité dès votre réveil, on n’est jamais assez prudent.
2. Dans le noir, alors qu’à tâtons vous cherchez l’interrupteur qui vous arrachera à l’obscurité, vous vous empalez la cuisse sur le coin de la commode Louis XVI (ou Sarko I de chez Ikea). Fourbe, le coin. Tel Jack l’Eventreur, il fond sur sa proie et la frappe là où ça fait mal : le haut de la cuisse ! Une nouvelle fois, vous étiez diminués. Vous vous écroulez sous le coup fatal. Un genou à terre, il s'en faut d'un cheveu pour que le coin ne s'en prenne à votre cuir chevelu...
3. Vous êtes tout occupés à une tâche importante quand, d’un coup, l’envie vous prend de vous retourner. Quelle erreur ! Le coin du tiroir du bureau rentre ses griffes dans la partie la plus tendre de votre coude. Electrochoc ! Râle de désespoir ! Onomatopées de douleur ! L’attaque s’est déroulée de dos. Le lâche.
J’ai bien d’autres exemples plus violents, plus sanglants, plus fourbes d’attaques de Coins et de Pieds mais je vous sens tourner de l’œil. J’espère vous avoir convaincu que le Mal est parmi nous, dans nos foyers.
Mort aux coins ! Sus aux pieds !
Par Rag' - 11-09-2009 17:14:41 - 4 commentaires
Le marathon du Médoc?
Un rassemblement de dopés?
Avec quels médocs?
Par Rag' - 10-07-2009 21:15:00 - 6 commentaires
La Montagn'Hard, c'est un film de boules avec des alpinistes et des marmottes?
Par Rag' - 10-02-2009 20:57:32 - 7 commentaires
Le plastique, c'est fantastique!
Par Rag' - 23-01-2009 18:30:09 - 4 commentaires
Par Rag' - 28-12-2008 16:26:34 - 3 commentaires
Tu as des boîtes Williams Saurin en guise de pots d'échappement?
Tu ne peux pas prendre les routes de campagne sans t'arracher le bas de caisse?
Tu as déjà repeint six fois ta bagnole?
Tu as un siège baquet et un bouchon de réservoir type "rallye"?
Ton film préféré est Fast & Furious?
Ton jeu préféré est GT?
Ton deuxième film préféré est Fast & Furious 2?